Le couple du cyclisme, Marion Rousse et Julian Alaphilippe, savoure leur vie idéale en Andorre
Marion Rousse et Julian Alaphilippe, le couple star du monde du cyclisme, profitent pleinement de leur vie en Andorre. Vivant de leur passion pour le cyclisme, ils offrent à leur jeune fils, Nino, une vie des plus exceptionnelles. Leur choix de résidence est influencé par Patrick Lefèvre qui leur a conseillé Andorre en disant : « Si tu vis à 1800 mètres, plus besoin de faire des stages ! ». Julian Alaphilippe, le prodige du cyclisme, peut ainsi s’entraîner sur les routes tortueuses de la région à sa guise. Le couple a établi leur domicile à La Massana, dans le nord-ouest du pays. Cependant, certains estiment que leur motivation n’est pas uniquement les montagnes et les routes sinueuses, mais aussi l’attrait de la fiscalité avantageuse d’Andorre.
Le régime fiscal favorable d’Andorre : un facteur de choix ?
Il faut noter qu’à Andorre, la TVA est de seulement 4,5% et l’impôt sur le revenu de 10%. De quoi susciter des interrogations sur le choix de résidence du couple. Ont-ils opté pour ce havre fiscal pour réduire leurs impôts ? Alaphilippe a répondu à cette interrogation dans les colonnes du Parisien en juillet 2021. « C’est avant tout un endroit magnifique. J’y trouve une tranquillité d’esprit et c’est un terrain de jeu parfait. Nous ne sommes pas les seuls à avoir fait ce choix. Il y a beaucoup de cols… Réduire cela à un simple paradis fiscal est une absurdité », avait-il déclaré. Parmi leurs voisins célèbres, on compte Fabio Quartararo, les frères Yates, Dan Martin, Pavel Sivakov, Esteban Chaves, Dani Moreno et bien d’autres.
Les réussites professionnelles ne manquent pas pour le couple
Malgré les critiques, Marion Rousse et Julian Alaphilippe sont comblés de bonheur. Marion a notamment joué un rôle clé en dirigeant la Grande Boucle féminine, qui a duré deux semaines. « Si l’événement durait trois semaines, cela pourrait nuire à d’autres courses. En outre, l’encadrement des équipes féminines est beaucoup plus limité. Ils ne sont pas une trentaine par équipe, mais plutôt une dizaine dans le cyclisme féminin. Trois semaines, c’est aussi un budget supplémentaire pour nous, avec le risque de dépôt de bilan. Sauf si nous décidons de faire une course au rabais. Mais quand on porte le label Tour de France, nous nous devons de créer un véritable Tour de France, avec les mêmes infrastructures avant et après la course, la même sécurité et le même niveau d’exigences. Il y aura une caravane, une présentation des équipes, des villages de départ, des animations. La même chose », avait-elle précisé.